Des brebis dans les vignes...
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Des brebis dans les vignes...
Rappel du premier message :
Bonsoir,
Un viticulteur m'a contacté pour faire pâturer des brebis dans ses vignobles bio à l'automne, voir au printemps. Il y aurait 14 hectares, ce qui serait intéressant surtout que chez moi, la belle saison est courte. Cela permettrait d'économiser un peu de foin (tellement précieux ici!), et de sortir et rentrer certaines brebis plus tôt et plus tard. J'étais plutôt emballée, même si je n'ai pas encore de bêtes, je commencerais avec celles dont j'ai la garde.
J'avais trouvé des muselières spéciales pour éviter que les brebis ne mangent les jeunes pousses au printemps. Mais coûteuses, cela ne sera pas bien rentable. Alors en faisant des recherches sur le net, j'ai trouvé que l'on pouvait "dégoûter" les brebis de manger des feuilles de vigne, avec un produit spécial, le chlorure de lithium. D'après une expérience, après avoir mangé des feuilles de vignes, une partie des brebis ont ingurgité le chlorure de lithium. Cela fini par les dégoûter, et elles ne mangent plus de feuilles, contrairement à l'autre moitié qui en consomme toujours.
Ce soir, on a demandé à un véto. Selon lui, a long terme, le chlorure de lithium peut être mauvais pour l'animal. Et puis si le domaine viticole est passé en bio il y a plusieurs années, il risque d'avoir encore des traces des traitements phytosanitaires utilisés auparavant. Il pourrait y avoir des soucis avec le cuivre notamment.
Y a t'il des éleveurs parmi vous qui ont ou ont eu recours à cette pratique? Pour le moment je n'ai le retour que d'un collègue qui est plutôt satisfait après un 1er essai cet automne...
Bonsoir,
Un viticulteur m'a contacté pour faire pâturer des brebis dans ses vignobles bio à l'automne, voir au printemps. Il y aurait 14 hectares, ce qui serait intéressant surtout que chez moi, la belle saison est courte. Cela permettrait d'économiser un peu de foin (tellement précieux ici!), et de sortir et rentrer certaines brebis plus tôt et plus tard. J'étais plutôt emballée, même si je n'ai pas encore de bêtes, je commencerais avec celles dont j'ai la garde.
J'avais trouvé des muselières spéciales pour éviter que les brebis ne mangent les jeunes pousses au printemps. Mais coûteuses, cela ne sera pas bien rentable. Alors en faisant des recherches sur le net, j'ai trouvé que l'on pouvait "dégoûter" les brebis de manger des feuilles de vigne, avec un produit spécial, le chlorure de lithium. D'après une expérience, après avoir mangé des feuilles de vignes, une partie des brebis ont ingurgité le chlorure de lithium. Cela fini par les dégoûter, et elles ne mangent plus de feuilles, contrairement à l'autre moitié qui en consomme toujours.
Ce soir, on a demandé à un véto. Selon lui, a long terme, le chlorure de lithium peut être mauvais pour l'animal. Et puis si le domaine viticole est passé en bio il y a plusieurs années, il risque d'avoir encore des traces des traitements phytosanitaires utilisés auparavant. Il pourrait y avoir des soucis avec le cuivre notamment.
Y a t'il des éleveurs parmi vous qui ont ou ont eu recours à cette pratique? Pour le moment je n'ai le retour que d'un collègue qui est plutôt satisfait après un 1er essai cet automne...
Re: Des brebis dans les vignes...
Le Gaumais a écrit:Tout à fait.
Un produit chimique est absorbé par la culture, la végétation sous elle et le sol . Ce produit fini dégradé après un certain temps et ( même si il peu y avoir des résidus nocifs à prendre en compte) ne présente plus de risque en tant que tel .
Si tu prends l'atrazine, son produit de dégradation est loin de ne présenter aucun risque.... et c'est lui qui fait reihc, bien des année après le dernier traitement, dans les analyses d'eau. Quand on veut bien se donner le mal de le quantifier. Si on ne le cherche pas, l'interprétation de l'analyse est plus facile.
bucheron- Agrinaute d'or
- Age : 50
Re: Des brebis dans les vignes...
Je crois me souvenir que Lolo utilisait le sulfate de cuivre comme vermifuge sur ses brebis et qu'il en était satisfait. Dans la mesure où brebis 73 veut faire pâturer dans la même région où lolo faisait pâturer ses brebis, en plus si elle reprend la même race, elle doit pouvoir se permettre le pâturage des vignobles.
Au surplus, il existe des antidotes.
Au surplus, il existe des antidotes.
bucheron- Agrinaute d'or
- Age : 50
Re: Des brebis dans les vignes...
je pense le sulfate de cuivre est pour soigner les pieds.
MA 31- Agrinaute hors compétition
- Age : 70
Re: Des brebis dans les vignes...
non, Bucheron a raison, je me souviens que Lolo avait parlé de ça et que ça m'avait bien étonnée..
Anestel- Agrinaute hors compétition
Re: Des brebis dans les vignes...
10 ans qu'elles sont en bio, mais c'est un peu compliqué pour moi car c'est pas à côté, c'est une autre organisation, si les brebis sont parqués elles vont tout massacrer, par contre si elles sont gardées en journée et en parc de nuit à l'extérieur des vignes pas de problème elles toucheront pas les pieds de vignesvivanden a écrit:lolo13430 a écrit:Je suis en contact avec une exploitation viticole bio pour faire paturer l'hiver prochain
En bio aucun soucis mais ne pas faire paturer des vignes en conventionnel car il y a trop de résidus de produits de traitement
Fait un essai avec trois brebis à sacrifier avant.
lolo13430- Agrinaute d'or
- Age : 50
Re: Des brebis dans les vignes...
je donne du sulfate de cuivre au brebis tout l'hiver une poignée dans 20 kg de sel en vrac et pas de soucibucheron a écrit:Je crois me souvenir que Lolo utilisait le sulfate de cuivre comme vermifuge sur ses brebis et qu'il en était satisfait. Dans la mesure où brebis 73 veut faire pâturer dans la même région où lolo faisait pâturer ses brebis, en plus si elle reprend la même race, elle doit pouvoir se permettre le pâturage des vignobles.
Au surplus, il existe des antidotes.
Les anciens vermifugé les brebis avec avant
lolo13430- Agrinaute d'or
- Age : 50
Re: Des brebis dans les vignes...
lolo13430 a écrit:10 ans qu'elles sont en bio, mais c'est un peu compliqué pour moi car c'est pas à côté, c'est une autre organisation, si les brebis sont parqués elles vont tout massacrer, par contre si elles sont gardées en journée et en parc de nuit à l'extérieur des vignes pas de problème elles toucheront pas les pieds de vignesvivanden a écrit:lolo13430 a écrit:Je suis en contact avec une exploitation viticole bio pour faire paturer l'hiver prochain
En bio aucun soucis mais ne pas faire paturer des vignes en conventionnel car il y a trop de résidus de produits de traitement
Fait un essai avec trois brebis à sacrifier avant.
Moi, si cela se fait, elles seront parquées jour et nuit. Le soucis c'est que je suis loin également (1h30 de route), et que j'aurai toujours des brebis à m'occuper sur place à Bonneval. Le viticulteur travaille avec toute une équipe. Ils veilleront aux brebis pendant leur travail. Ils se sont même proposés de s'occuper de l'eau, et de changer les parcs. Mais je préfère être sur place à ce moment là. On ne sait jamais!
Il y aurait 25 à 30 brebis max dans des parc de 3 à 4 hectares à chaque fois.
Re: Des brebis dans les vignes...
C ' est la difficile dégradation de l' atrazine qui a eu raison de cette molécule comme bien d' autres. A ce niveau, c' était pleinement justifié. L' atrazine utilisé à faible dose en mélange ( désherbage maïs) et interdit en désherbage total , cela aurait pu continuer sans soucis.bucheron a écrit:Le Gaumais a écrit:Tout à fait.
Un produit chimique est absorbé par la culture, la végétation sous elle et le sol . Ce produit fini dégradé après un certain temps et ( même si il peu y avoir des résidus nocifs à prendre en compte) ne présente plus de risque en tant que tel .
Si tu prends l'atrazine, son produit de dégradation est loin de ne présenter aucun risque.... et c'est lui qui fait reihc, bien des année après le dernier traitement, dans les analyses d'eau. Quand on veut bien se donner le mal de le quantifier. Si on ne le cherche pas, l'interprétation de l'analyse est plus facile.
La plupart des molécules actuelles ne sont pas moins nocives mais elle se dégradent bien plus vite .
Le Gaumais- Agrinaute hors compétition
- Age : 53
Re: Des brebis dans les vignes...
Mes copains en conventionnel font paturer tout les ans leurs vignes sans problèmes.lolo13430 a écrit:10 ans qu'elles sont en bio, mais c'est un peu compliqué pour moi car c'est pas à côté, c'est une autre organisation, si les brebis sont parqués elles vont tout massacrer, par contre si elles sont gardées en journée et en parc de nuit à l'extérieur des vignes pas de problème elles toucheront pas les pieds de vignesvivanden a écrit:lolo13430 a écrit:Je suis en contact avec une exploitation viticole bio pour faire paturer l'hiver prochain
En bio aucun soucis mais ne pas faire paturer des vignes en conventionnel car il y a trop de résidus de produits de traitement
Fait un essai avec trois brebis à sacrifier avant.
westvar- Agrinaute hors compétition
- Age : 59
Re: Des brebis dans les vignes...
Je colle le texte de l'article.
TERROIR Bernard Perroud est à la fois boucher et éleveur de moutons. Ses bêtes passent la saison froide dans des vignes neuchâteloises, qui y trouvent aussi leur compte.
La scène surprend tous ceux qui n’y ont jamais assisté: durant la saison froide, des moutons déambulent dans des vignes du Littoral. Ce jour-là, ils paissaient sur diverses parcelles, à Colombier.
«La demande des viticulteurs est grande, nous ne réussissons pas à aller partout», confie Bernard Perroud, boucher aux Ponts-de-Martel, et qui élève lui-même des moutons, principalement pour produire de la viande d’agneau.
Cela fait maintenant une dizaine d’années qu’il fait pâturer dans les vignes ses quelque 300 moutons (des brebis pour l’essentiel et une dizaine de béliers). «En se nourrissant parmi les ceps, les bêtes réalisent un ‘travail’ qui est en principe effectué par des machines. En plus, les moutons laissent de la fumure riche en azote, ce qui est bon pour la fertilité des sols.»
Le berger Laurent Schmied (à gauche) et Bernard Perroud, boucher et éleveur de moutons. Photo: Muriel Antille
Cette transhumance d’hiver débute après les vendanges. Elle s’étend jusqu’à fin février, moment où les bêtes reviennent en bergerie. A partir du mois d’avril, le «retour» de la végétation permet aux moutons de paître à Planeyse (Colombier). A la mi-juin, le troupeau est déplacé – en camions – dans les Alpes vaudoises pour l’estivage. Le retour en terres neuchâteloises a lieu en octobre.
Durant les premiers mois de l’année, les brebis donnent naissance à quelque 350 agneaux. Leur durée de vie s’étend de six à huit mois, soit le temps nécessaire pour atteindre environ 45 kg. Les bêtes passent de vie à trépas à l’abattoir des Ponts-de-Martel. Au programme: gigots, épaules, carrés d’agneau, etc. La boucherie Perroud produit également des merguez, de la saucisse sèche et de la terrine.
Les moutons déambulent librement entre les ceps de vigne. Photo: Muriel Antille
Précision: la petite société des Ponts-de-Martel – elle emploie une douzaine de personnes – vend également de la viande de porc, de bœuf, de veau et de cheval. «Hormis pour ce dernier, toutes les bêtes sont élevées dans le canton de Neuchâtel», précise le boucher-éleveur. La boucherie propose aussi, bien sûr, le fameux saucisson neuchâtelois IGP (Indication géographique protégée).
A propos de label, on signale que la viande d’agneau de Bernard Perroud, en plus d’être bio, vient d’être certifiée par l’organisme Neuchâtel Vins et Terroir. «La proximité est de plus en plus appréciée par les clients», commente le Ponlier.
Les produits de la boucherie sont vendus sur place, dans quelques autres boucheries et magasins, ainsi que dans des restaurants. «Jusqu’à présent, j’ai évité la grande distribution, car je souhaite être le plus indépendant possible dans la phase de commercialisation.» C’est dans cette même optique que Bernard Perroud et sa femme Josette seront tout bientôt présents au marché de Neuchâtel. «Quand on est commerçant, il faut sans cesse se renouveler», conclut-il.
TERROIR Bernard Perroud est à la fois boucher et éleveur de moutons. Ses bêtes passent la saison froide dans des vignes neuchâteloises, qui y trouvent aussi leur compte.
La scène surprend tous ceux qui n’y ont jamais assisté: durant la saison froide, des moutons déambulent dans des vignes du Littoral. Ce jour-là, ils paissaient sur diverses parcelles, à Colombier.
«La demande des viticulteurs est grande, nous ne réussissons pas à aller partout», confie Bernard Perroud, boucher aux Ponts-de-Martel, et qui élève lui-même des moutons, principalement pour produire de la viande d’agneau.
Cela fait maintenant une dizaine d’années qu’il fait pâturer dans les vignes ses quelque 300 moutons (des brebis pour l’essentiel et une dizaine de béliers). «En se nourrissant parmi les ceps, les bêtes réalisent un ‘travail’ qui est en principe effectué par des machines. En plus, les moutons laissent de la fumure riche en azote, ce qui est bon pour la fertilité des sols.»
Le berger Laurent Schmied (à gauche) et Bernard Perroud, boucher et éleveur de moutons. Photo: Muriel Antille
Cette transhumance d’hiver débute après les vendanges. Elle s’étend jusqu’à fin février, moment où les bêtes reviennent en bergerie. A partir du mois d’avril, le «retour» de la végétation permet aux moutons de paître à Planeyse (Colombier). A la mi-juin, le troupeau est déplacé – en camions – dans les Alpes vaudoises pour l’estivage. Le retour en terres neuchâteloises a lieu en octobre.
Durant les premiers mois de l’année, les brebis donnent naissance à quelque 350 agneaux. Leur durée de vie s’étend de six à huit mois, soit le temps nécessaire pour atteindre environ 45 kg. Les bêtes passent de vie à trépas à l’abattoir des Ponts-de-Martel. Au programme: gigots, épaules, carrés d’agneau, etc. La boucherie Perroud produit également des merguez, de la saucisse sèche et de la terrine.
Les moutons déambulent librement entre les ceps de vigne. Photo: Muriel Antille
Précision: la petite société des Ponts-de-Martel – elle emploie une douzaine de personnes – vend également de la viande de porc, de bœuf, de veau et de cheval. «Hormis pour ce dernier, toutes les bêtes sont élevées dans le canton de Neuchâtel», précise le boucher-éleveur. La boucherie propose aussi, bien sûr, le fameux saucisson neuchâtelois IGP (Indication géographique protégée).
A propos de label, on signale que la viande d’agneau de Bernard Perroud, en plus d’être bio, vient d’être certifiée par l’organisme Neuchâtel Vins et Terroir. «La proximité est de plus en plus appréciée par les clients», commente le Ponlier.
Les produits de la boucherie sont vendus sur place, dans quelques autres boucheries et magasins, ainsi que dans des restaurants. «Jusqu’à présent, j’ai évité la grande distribution, car je souhaite être le plus indépendant possible dans la phase de commercialisation.» C’est dans cette même optique que Bernard Perroud et sa femme Josette seront tout bientôt présents au marché de Neuchâtel. «Quand on est commerçant, il faut sans cesse se renouveler», conclut-il.
Cyrano- Agrinaute d'argent
- Age : 50
Re: Des brebis dans les vignes...
Cyrano a écrit:Je colle le texte de l'article.
TERROIR Bernard Perroud est à la fois boucher et éleveur de moutons. Ses bêtes passent la saison froide dans des vignes neuchâteloises, qui y trouvent aussi leur compte.
La scène surprend tous ceux qui n’y ont jamais assisté: durant la saison froide, des moutons déambulent dans des vignes du Littoral. Ce jour-là, ils paissaient sur diverses parcelles, à Colombier.
«La demande des viticulteurs est grande, nous ne réussissons pas à aller partout», confie Bernard Perroud, boucher aux Ponts-de-Martel, et qui élève lui-même des moutons, principalement pour produire de la viande d’agneau.
Cela fait maintenant une dizaine d’années qu’il fait pâturer dans les vignes ses quelque 300 moutons (des brebis pour l’essentiel et une dizaine de béliers). «En se nourrissant parmi les ceps, les bêtes réalisent un ‘travail’ qui est en principe effectué par des machines. En plus, les moutons laissent de la fumure riche en azote, ce qui est bon pour la fertilité des sols.»
Le berger Laurent Schmied (à gauche) et Bernard Perroud, boucher et éleveur de moutons. Photo: Muriel Antille
Cette transhumance d’hiver débute après les vendanges. Elle s’étend jusqu’à fin février, moment où les bêtes reviennent en bergerie. A partir du mois d’avril, le «retour» de la végétation permet aux moutons de paître à Planeyse (Colombier). A la mi-juin, le troupeau est déplacé – en camions – dans les Alpes vaudoises pour l’estivage. Le retour en terres neuchâteloises a lieu en octobre.
Durant les premiers mois de l’année, les brebis donnent naissance à quelque 350 agneaux. Leur durée de vie s’étend de six à huit mois, soit le temps nécessaire pour atteindre environ 45 kg. Les bêtes passent de vie à trépas à l’abattoir des Ponts-de-Martel. Au programme: gigots, épaules, carrés d’agneau, etc. La boucherie Perroud produit également des merguez, de la saucisse sèche et de la terrine.
Les moutons déambulent librement entre les ceps de vigne. Photo: Muriel Antille
Précision: la petite société des Ponts-de-Martel – elle emploie une douzaine de personnes – vend également de la viande de porc, de bœuf, de veau et de cheval. «Hormis pour ce dernier, toutes les bêtes sont élevées dans le canton de Neuchâtel», précise le boucher-éleveur. La boucherie propose aussi, bien sûr, le fameux saucisson neuchâtelois IGP (Indication géographique protégée).
A propos de label, on signale que la viande d’agneau de Bernard Perroud, en plus d’être bio, vient d’être certifiée par l’organisme Neuchâtel Vins et Terroir. «La proximité est de plus en plus appréciée par les clients», commente le Ponlier.
Les produits de la boucherie sont vendus sur place, dans quelques autres boucheries et magasins, ainsi que dans des restaurants. «Jusqu’à présent, j’ai évité la grande distribution, car je souhaite être le plus indépendant possible dans la phase de commercialisation.» C’est dans cette même optique que Bernard Perroud et sa femme Josette seront tout bientôt présents au marché de Neuchâtel. «Quand on est commerçant, il faut sans cesse se renouveler», conclut-il.
Au top! Merci bien! :)
Re: Des brebis dans les vignes...
Je t'en prie.
Il n'y a pas les photos, mais bon, tu as déjà vu un mouton.
Il n'y a pas les photos, mais bon, tu as déjà vu un mouton.
Cyrano- Agrinaute d'argent
- Age : 50
Re: Des brebis dans les vignes...
Mes brebis pâturent les vignes tout l'hiver aucun souci de cuivre ou autres. D'autant plus que le cuivre joue un rôle important pour la fécondité de la brenis.
Je n'en dirai pas autant pour les terres traitées au cuivre et qui mettent des années de friches à s'en remettre.
Je n'en dirai pas autant pour les terres traitées au cuivre et qui mettent des années de friches à s'en remettre.
robertin- Agrinaute en rodage
- Age : 73
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