QUIZ gaucho
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QUIZ gaucho
toujours le même débat sur le gaucho(orge), certains parlent de 5 semaines d'autre aux nombres de feuilles. que penser cette année vu que ca pousse moins vite?
etaisere- Agrinaute hors compétition
- Age : 45
Re: QUIZ gaucho
bonne question !
je crois plus à une perte d'efficacité par la dilution dans un nombre de feuilles important que par un temps imparti à la vie de la matière active .
Ai-je raison pour autant ?
je crois plus à une perte d'efficacité par la dilution dans un nombre de feuilles important que par un temps imparti à la vie de la matière active .
Ai-je raison pour autant ?
jack77- Agrinaute hors compétition
- Age : 62
Re: QUIZ gaucho
luc, bastien et les autres au rapport.merci
etaisere- Agrinaute hors compétition
- Age : 45
Re: QUIZ gaucho
Il me semble avoir entendu un jour qu'avec le sec il n'est pas diffusé donc pas actif
tof- Agrinaute hors compétition
- Age : 56
Re: QUIZ gaucho
En est tu sûr ?etaisere a écrit:ah..je me coucherait moins bete....
tof- Agrinaute hors compétition
- Age : 56
Re: QUIZ gaucho
etaisere a écrit:ah..je me coucherait moins bete....
ça t'arrive tous les jours
moi aussi d'ailleurs .......
pat51- Agrinaute hors compétition
- Age : 60
Re: QUIZ gaucho
jack77 a écrit:bonne question !
je crois plus à une perte d'efficacité par la dilution dans un nombre de feuilles/volume de racines important que par un temps imparti à la vie de la matière active .
Ai-je raison pour autant ?
Surement ....
vivanden- Agrinaute hors compétition
- Age : 41
Re: QUIZ gaucho
je sent qu'il va y avoir un tof et pat dans l'assiettepat51 a écrit:etaisere a écrit:ah..je me coucherait moins bete....
ça t'arrive tous les jours
moi aussi d'ailleurs .......
etaisere- Agrinaute hors compétition
- Age : 45
Re: QUIZ gaucho
Pas moi,surtout quand je te lispat51 a écrit:etaisere a écrit:ah..je me coucherait moins bete....
ça t'arrive tous les jours
moi aussi d'ailleurs .......
tof- Agrinaute hors compétition
- Age : 56
Re: QUIZ gaucho
au depart on parlait de 4-6 semaines mais il y a une marche arriere pour s'orienter vers 4 semaines
au dela tt
au dela tt
grabouille- Agrinaute hors compétition
- Age : 105
Re: QUIZ gaucho
a force de devenir moins bête, deviens-t-on intelligent
didi 58- Agrinaute d'or
- Age : 63
Re: QUIZ gaucho
J'en connais qui sont intelligents
Mais qu'est ce qu'ils sont bêtes
Mais qu'est ce qu'ils sont bêtes
tof- Agrinaute hors compétition
- Age : 56
Re: QUIZ gaucho
@hv, c'est ce que je me disais un peu...au 15 je fais feux si beau temps
etaisere- Agrinaute hors compétition
- Age : 45
Re: QUIZ gaucho
j'arrive au bout aussi mais vu le temps annoncé il faudrait un redoux a l'ete de la st martin pour décider d'un tt
grabouille- Agrinaute hors compétition
- Age : 105
Re: QUIZ gaucho
4-5 semaines, puis apres tu vas voir s'il y en a et seulement là tu fais feu
Invité- Invité
Re: QUIZ gaucho
Froid et neige la semaine prochaine donc pas trop de souci à avoir ... mais on a déjà vu de très belles périodes mi Novembre.
Jardinier du 70- Agrinaute hors compétition
- Age : 50
Re: QUIZ gaucho
Quelles sont les dates d'arrêt d'utilisation de l'imidacloprid ?
zarouf- Agrinaute hors compétition
- Age : 64
Re: QUIZ gaucho
Néonicotinoïdes : déterminer les dérogations à l’interdiction prévue en 2018
L'Anses avance dans son évaluation des usages actuels des insecticides néonicotinoïdes en France. Deux études sont en cours pour aider le Gouvernement à décider des dérogations pour cette famille de molécules, dont l'usage sera interdit en septembre 2018.
Septembre 2018 marquera l’interdiction des néonicotinoïdes en France, comme l’impose la loi pour la reconquête de la biodiversité votée en 2016. Le texte prévoit toutefois la possibilité de délivrer des dérogations à certains produits, et pour certains usages, jusqu’à juillet 2020. L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) planche actuellement sur les rapports qui devront flécher ces éventuelles dérogations. L’idée est de lister les cultures qui seraient trop lourdement handicapées par l’interdiction, faute d’alternatives satisfaisantes. Les deux années de sursis auraient alors pour but de donner le temps de trouver de nouvelles solutions pour préserver les cultures.
Deux études en cours
Le directeur général de l’Anses, Roget Genet, a donné le 5 décembre son calendrier. Le rapport final, qui doit éclairer la décision concernant ces dérogations, devrait être bouclé « pour la fin du premier trimestre 2018 ». En attendant, une étude intermédiaire d’évaluation portant spécifiquement sur les usages des néonicotinoïdes en viticulture et en protection de semences* de céréales sera publiée d’ici à la fin de l’année 2017. Si ces documents donneront des indications, c’est bien le Gouvernement qui tranchera.
Une famille de molécules polémiques
Cette famille de molécules insecticides avait été au cœur de longues discussions au moment du vote. Leurs impacts potentiels sur la biodiversité, et notamment les pollinisateurs, étaient pointés du doigt par plusieurs ONG environnementales. Une hypothèse réfutée par les firmes qui détiennent ces molécules, avançant que d’autres pays, comme l’Australie, les utilisent sans que les colonies d’abeilles ne connaissent de déclin. Le secteur agricole rappelait, de son côté, l’utilité de ces insecticides pour protéger leurs cultures contre certains insectes nuisibles.
* La protection de semence consiste à enrober les semences d’une pellicule de pesticide pour la protéger dès son implantation, plutôt que de pulvériser le produit sur la plante.
L'Anses avance dans son évaluation des usages actuels des insecticides néonicotinoïdes en France. Deux études sont en cours pour aider le Gouvernement à décider des dérogations pour cette famille de molécules, dont l'usage sera interdit en septembre 2018.
Septembre 2018 marquera l’interdiction des néonicotinoïdes en France, comme l’impose la loi pour la reconquête de la biodiversité votée en 2016. Le texte prévoit toutefois la possibilité de délivrer des dérogations à certains produits, et pour certains usages, jusqu’à juillet 2020. L’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses) planche actuellement sur les rapports qui devront flécher ces éventuelles dérogations. L’idée est de lister les cultures qui seraient trop lourdement handicapées par l’interdiction, faute d’alternatives satisfaisantes. Les deux années de sursis auraient alors pour but de donner le temps de trouver de nouvelles solutions pour préserver les cultures.
Deux études en cours
Le directeur général de l’Anses, Roget Genet, a donné le 5 décembre son calendrier. Le rapport final, qui doit éclairer la décision concernant ces dérogations, devrait être bouclé « pour la fin du premier trimestre 2018 ». En attendant, une étude intermédiaire d’évaluation portant spécifiquement sur les usages des néonicotinoïdes en viticulture et en protection de semences* de céréales sera publiée d’ici à la fin de l’année 2017. Si ces documents donneront des indications, c’est bien le Gouvernement qui tranchera.
Une famille de molécules polémiques
Cette famille de molécules insecticides avait été au cœur de longues discussions au moment du vote. Leurs impacts potentiels sur la biodiversité, et notamment les pollinisateurs, étaient pointés du doigt par plusieurs ONG environnementales. Une hypothèse réfutée par les firmes qui détiennent ces molécules, avançant que d’autres pays, comme l’Australie, les utilisent sans que les colonies d’abeilles ne connaissent de déclin. Le secteur agricole rappelait, de son côté, l’utilité de ces insecticides pour protéger leurs cultures contre certains insectes nuisibles.
* La protection de semence consiste à enrober les semences d’une pellicule de pesticide pour la protéger dès son implantation, plutôt que de pulvériser le produit sur la plante.
vivanden- Agrinaute hors compétition
- Age : 41
Re: QUIZ gaucho
Gaucho or not Gaucho pour les semis d' orge à l' automne 2018 ???
Les États membres de l’UE ont voté ce matin en faveur de l’interdiction en plein champ des trois insecticides néonicotinoïdes dont l’utilisation était déjà restreinte depuis 2013 (imidaclopride, clothianidine et thiaméthoxame).
Vendredi 27 avril, dans le cadre d’un comité permanent, les représentants des 28 pays de l’UE ont voté en faveur de la proposition de la Commission européenne visant à étendre l’interdiction partielle de trois néonicotinoïdes (clothianidine, imidaclopride, thiaméthoxame) à toutes les cultures de plein champ, en raison de leur nocivité pour les abeilles.
Ces restrictions vont au-delà des mesures déjà en place depuis 2013. Toutes les utilisations en extérieur seront interdites et les néonicotinoïdes en question ne seront autorisés que dans les serres permanentes. La Commission a indiqué avoir proposé ces mesures sur la base de l’avis scientifique de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa).
« La protection des abeilles est un enjeu important pour la Commission puisqu’elle concerne la biodiversité, la production alimentaire et l’environnement », a fait savoir un porte-parole dans un communiqué.
Majorité qualifiée
La France a voté en faveur de cette proposition. Au niveau national, elle avait déjà voté l’interdiction de tous les insecticides néonicotinoïdes pour le 1er septembre 2018, avec des dérogations possibles jusqu’en 2020.
Se sont également prononcés en faveur de la Commission le Royaume-Uni, la Slovénie, l’Allemagne, Malte, l’Autriche, les Pays-Bas, la Suède, Chypre, le Luxembourg, l’Italie, l’Irlande, la Grèce, l’Estonie et l’Espagne. La Roumanie, la République tchèque, le Danemark et la Hongrie l’ont désapprouvée. Le Portugal, la Belgique, la Slovaquie, la Pologne, la Bulgarie et la Croatie, la Lettonie, Lituanie, la Finlande se sont abstenus.
Le règlement va maintenant être adopté par la Commission européenne dans les semaines à venir et devenir applicable d’ici à la fin de l’année.
Les États membres de l’UE ont voté ce matin en faveur de l’interdiction en plein champ des trois insecticides néonicotinoïdes dont l’utilisation était déjà restreinte depuis 2013 (imidaclopride, clothianidine et thiaméthoxame).
Vendredi 27 avril, dans le cadre d’un comité permanent, les représentants des 28 pays de l’UE ont voté en faveur de la proposition de la Commission européenne visant à étendre l’interdiction partielle de trois néonicotinoïdes (clothianidine, imidaclopride, thiaméthoxame) à toutes les cultures de plein champ, en raison de leur nocivité pour les abeilles.
Ces restrictions vont au-delà des mesures déjà en place depuis 2013. Toutes les utilisations en extérieur seront interdites et les néonicotinoïdes en question ne seront autorisés que dans les serres permanentes. La Commission a indiqué avoir proposé ces mesures sur la base de l’avis scientifique de l’Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa).
« La protection des abeilles est un enjeu important pour la Commission puisqu’elle concerne la biodiversité, la production alimentaire et l’environnement », a fait savoir un porte-parole dans un communiqué.
Majorité qualifiée
La France a voté en faveur de cette proposition. Au niveau national, elle avait déjà voté l’interdiction de tous les insecticides néonicotinoïdes pour le 1er septembre 2018, avec des dérogations possibles jusqu’en 2020.
Se sont également prononcés en faveur de la Commission le Royaume-Uni, la Slovénie, l’Allemagne, Malte, l’Autriche, les Pays-Bas, la Suède, Chypre, le Luxembourg, l’Italie, l’Irlande, la Grèce, l’Estonie et l’Espagne. La Roumanie, la République tchèque, le Danemark et la Hongrie l’ont désapprouvée. Le Portugal, la Belgique, la Slovaquie, la Pologne, la Bulgarie et la Croatie, la Lettonie, Lituanie, la Finlande se sont abstenus.
Le règlement va maintenant être adopté par la Commission européenne dans les semaines à venir et devenir applicable d’ici à la fin de l’année.
Jardinier du 70- Agrinaute hors compétition
- Age : 50
Re: QUIZ gaucho
31 mai 2018
L’Anses a publié le 30 mai son rapport final sur les risques et bénéfices des phytos à base de néonicotinoïdes et de leurs alternatives, montrant six cas d’usage pour lesquels « aucune alternative » n’existe.
130 usages autorisés des néonicotinoïdes ont été étudiés, indique l’agence. « Pour une majorité des usages, des alternatives (chimiques et non chimiques), suffisamment efficaces et opérationnelles, ont pu être identifiées ». Dans six cas, « aucune alternative » répondant à ces critères n’a été identifiée, selon le rapport : lutte contre les mouches sur maïs, des insectes xylophages sur cerisier, certaines mouches sur framboisier, les pucerons sur navet, les coléoptères sur arbres et arbustes, les insectes du sol (hannetons) en forêt.
Dans 78 % des cas analysés, au moins une solution alternative non chimique existe.
Le rapport souligne aussi que, pour la plupart des usages étudiés, l’interdiction d’utilisation des substances appartenant à la famille des néonicotinoïdes « risque d’entraîner une résistance accrue aux autres insecticides, en particulier pyréthrinoïdes, s’ils sont utilisés en alternatives ».
Jean-Christophe DETAILLE (AGRA Presse)
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