Un ministre de l'agriculture Breton ?
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Re: Un ministre de l'agriculture Breton ?
ça fait partie de ce qui se dit, mais c'est pas encore officiel je crois
mais je suis comme agritof, il se dit société civile dans l'interview c'est pas mon impression
mais je suis comme agritof, il se dit société civile dans l'interview c'est pas mon impression
Invité- Invité
Re: Un ministre de l'agriculture Breton ?
Voilà ce qu'on dit de lui un peu partout :
« il est un homme de synthèse, maîtrisant ses dossiers. Il n’est pas prisonnier d’une idéologie et a une liberté de penser. On le crédite d’un bon sens paysan. Et c’est plutôt un raisonnable ».
« il est un homme de synthèse, maîtrisant ses dossiers. Il n’est pas prisonnier d’une idéologie et a une liberté de penser. On le crédite d’un bon sens paysan. Et c’est plutôt un raisonnable ».
Re: Un ministre de l'agriculture Breton ?
Et la brave Christiane dans tout ça. Tant qu' a faire..
Elle aussi a l' esprit de synthèse, pas du tout prisonnière d ' une idéologie non plus. et ayant sa liberté de penser ( si si elle pense!)
Une vraie raisonnable aussi.
Elle aussi a l' esprit de synthèse, pas du tout prisonnière d ' une idéologie non plus. et ayant sa liberté de penser ( si si elle pense!)
Une vraie raisonnable aussi.
Le Gaumais- Agrinaute hors compétition
- Age : 53
Re: Un ministre de l'agriculture Breton ?
bon et finalement , les agris bretons , ils sont heureux ?
puisque c'est un modèle "breton" qui sera défendu par l'équipe Macron .
puisque c'est un modèle "breton" qui sera défendu par l'équipe Macron .
kermitt- Agrinaute hors compétition
- Age : 59
Re: Un ministre de l'agriculture Breton ?
L’agenda chargé du futur ministre de l’Agriculture
Le ou la futur(e) ministre de l’Agriculture du nouveau président
de la République, Emmanuel Macron, devrait débuter
son mandat sur les chapeaux de roue. Trois chantiers prioritaires
devraient être lancés dès l’été, annonce l’équipe de
campagne du tout nouveau parti La République en Marche :
l’organisation des États généraux de l’alimentation, avec pour
objectif de réformer la répartition de la valeur dans les filières
agroalimentaires, la négociation de mesures européennes
pour redresser le marché laitier européen et la préparation
du plan d’investissement de 5 Mrd€. Il sera également rattrapé
par l’actualité de l’agriculture : les gels importants qu’ont
connus les vignobles et vergers français ces dernières semaines.
Et la négociation du règlement Omnibus à Bruxelles.
S’il est maintenu après les élections législatives de juin, le ou la ministre
de l’Agriculture du premier gouvernement que va constituer le nouveau
président de la République Emmanuel Macron, aura vraisemblablement
un agenda chargé. Sa nomination devrait avoir lieu le 16 mai.
À en croire son équipe, les choses sérieuses devraient commencer dès cet
été. Mais avant cela, il devra gérer l’actualité du secteur. Le gel tout d’abord,
qui a touché le vignoble de la façade ouest fin avril, quelques jours après la
moitié est de l’hexagone. Le ministre de l’Agriculture devra gérer le soutien
immédiat aux sinistrés, et s’atteler rapidement à l’amélioration des dispositifs
de gestion des risques climatiques. Cela tombe bien, la gestion des risques
est l’un des sujets phares débattus à Bruxelles dans le cadre du règlement
omnibus. Autre sujet chaud à Bruxelles en ce moment : l’assouplissement
du droit de la concurrence, qui est justement l’une des mesures mises sur la
table par le candidat Emmanuel Macron pour permettre aux agriculteurs de
retrouver du prix. En dehors de cet agenda « subi », trois chantiers majeurs
devraient être conduits conjointement durant la période estivale, annonce
Olivier Allain, le conseiller agricole d’Emmanuel Macron lors de la campagne,
et candidat à la députation dans son département des Côtes d’Armor.
« Ouvrir tous les leviers législatifs »
Le premier chantier consistera à organiser des « États généraux de l’alimen-tation », initialement appelés Grenelle de l’alimentation. Cet événement réunira les
associations de consommateurs, les agriculteurs, les distributeurs et l’ensemble des
filières. Il s’agira d’évoquer « une meilleure rémunération des producteurs et donner
un cadre de modernisation de l’agriculture », avait expliqué le candidat Macron en
avril dernier dans un entretien accordé au JDD. « Le premier objectif est de retrouver
le prix payé aux producteurs, avec une priorité donnée au lait et à la viande bovine,
prévoit Olivier Allain. Il y a de vrais gains de valeur ajoutée à ramener vers l’amont de
la filière. » L’équipe d’Emmanuel Macron souhaite développer la contractualisation,
autour notamment des coûts de production des agriculteurs. En cas d’échec des
négociations, l’ensemble du cadre législatif est susceptible d’être revu : « loi de modernisation
de l’économie, droit de la concurrence, la loi Sapin 2 ».
Deuxième chantier de l’été : « L’Europe et les stocks de lait qui pèsent actuellement sur
les prix du lait », annonce Olivier Allain. Selon lui, le futur ministre de l’Agriculture devra
aller rapidement à Bruxelles pour convaincre les autres États membres d’alléger le
marché. Bruxelles a constitué entre 2015 et 2016 environ 300 000 tonnes de stocks
de poudre de lait qui menacent l’équilibre les cours. Pour soutenir ces derniers, le
conseiller d’Emmanuel Macron évoque par exemple l’utilisation de la poudre de lait
comme aide alimentaire, comme le suggérait encore récemment la FNPL et d’autres
syndicats agricoles, ou bien la reconduction de programme d’aides aux réductions
volontaires de production, qui ont concerné presque 861 000 tonnes de lait en Europe
entre octobre 2016 et janvier 2017.
Booster les aides à l’investissement
Troisième et dernier chantier de l’été, selon Olivier Allain, préparer la mise en place
des engagements budgétaires du candidat envers l’agriculture, au travers notamment
du « grand plan de transformation de l’agriculture de 5 milliards d’euros sur
cinq ans ». Celui-ci doit se traduire par exemple par la « multiplication par quatre des
crédits nationaux du plan de compétitivité et d´adaptation des exploitations agricoles
(PCAEA) ». « Beaucoup de crédits issus des fonds Feader ont été consommés par les
régions, alors que la programmation dure jusqu’en 2021 », explique Olivier Allain. Les
aides aux investissements de modernisation sont composés de financements européens
(fonds Feader géré par les régions) et nationaux venant de l’État (PCAEA), des
Régions, des Départements, des agences de l’Eau, et parfois de métropoles.
Le prochain ministre devrait annoncer des « aides complémentaires », appelées «
top-up » dans le jargon, qui permettront aux régions d’attribuer des aides aux agriculteurs,
dont le financement déroge à l’obligation de cofinancement européen. L’utilisation
de ces budgets devrait différer en fonction des régions.
Le PCAEA « permet de préparer l’avenir »
Par exemple, la région Auvergne Rhône Alpes est « plutôt sur un rythme accéléré »
d’utilisation des fonds européens Feader alloués à la modernisation, confie-t-on dans
les services agriculture du conseil régional. L’abondement du PCAEA pourrait d’abord
lui permettre de maintenir plus longtemps les dispositifs à leur niveau actuel. D’autres
régions plus prudentes pourraient relever les plafonds de ces aides. Ils sont significativement
différents en fonction des régions (plutôt bas en Bretagne, par exemple),
même si des harmonisations ont été faites à l’occasion des fusions, par exemple
en Nouvelle Aquitaine. En Nouvelle Aquitaine, le directeur agriculture de la région,
Thierry Mazet, se réjouit de l’abondement du PCAEA. « C’est une bonne chose qui
permet de préparer l’avenir ». Ces fonds pourraient être utilisés pour élargir le périmètre
des matériels éligibles aux aides. « Il faut miser sur l’innovation », estime-t-il.
Surtranspositions, droit à l’erreur au printemps
Voilà pour l’agenda prévisionnel du ministre de l’Agriculture. Mais d’autres annonces
qu’avait faites Emmanuel Macron concernent aussi le secteur agricole. Le candidat
Macron avait notamment annoncé, dans un entretien à nos confrères du JDD, qu’il
prévoyait « fin mai ou début juin », de mettre en place « le droit à l’erreur » face aux
contrôles de l’administration. Cette mesure devait passer par le fameux projet de loi
d’habilitation permettant au gouvernement « d’agir par ordonnances ». Ces textes,
prévus pour le printemps, doivent aussi « supprimer les normes issues de la surtransposition
» et imposer « la suppression d’une norme récente pour toute nouvelle norme
votée ». Pour Olivier Allain, ces mesures n’ont pas « le même degré d’urgence ». Le
droit à l’erreur a d’ailleurs « besoin d’être affiné », admet-il.
Le souhait de son équipe est que le droit à l’erreur ne concerne que des erreurs « qui
n’ont pas de conséquence néfaste sur l’environnement » et « qui minent le moral des
agriculteurs ». Pour Olivier Allain, « il y a un état d’esprit à donner à l’administration
pour que l’on ne soit plus dans le fait du prince ». Difficile de mesurer précisément la
marge de manoeuvre du nouveau ministre sur ce sujet, surtout en ce qui concerne les
aides PAC, très surveillées par Bruxelles.
Concernant les surtranspositions du droit européen, le conseiller d’Emmanuel Macron
n’a pas été en mesure de fournir d’exemple lors de notre entretien. Serpent de mer du
secteur agricole, ces « surtranspositions » avaient été à l’origine de la création d’une
structure de concertation, le Comité de révision des normes agricoles (Corena), souvent
mise en avant par le syndicalisme majoritaire.
Tour d’Europe cet été, baisses de charges à l’automne
Toujours durant ce même été, il avait annoncé dans son entretien au JDD « un tour
des capitales européennes », afin de proposer « une feuille de route à cinq ans pour
doter la zone euro d’un vrai budget et pour une vraie Europe à 27 de l’environnement,
de l’industrie et de la gestion des migrations ». Il est également prévu que son gouvernement
organise parallèlement « une conférence des territoires » pour établir « un
pacte de confiance avec les collectivités locales ».
À l’automne, il prévoyait « un texte de finances publiques quinquennal » et « un projet
de loi de finances pour 2018 », qui comprendront notamment les « principales
mesures en faveur de l’emploi et de
l’investissement, comme la baisse
des charges, la baisse de l’impôt sur
les sociétés ». En revanche, il souhaitait
prendre plus de temps pour
réformer l’assurance chômage dont
il souhaite « universaliser » les droits :
« Tout cela sera finalisé au plus tard
début 2018 ».
AGRAPRESSE - 12/05/2017
Le ou la futur(e) ministre de l’Agriculture du nouveau président
de la République, Emmanuel Macron, devrait débuter
son mandat sur les chapeaux de roue. Trois chantiers prioritaires
devraient être lancés dès l’été, annonce l’équipe de
campagne du tout nouveau parti La République en Marche :
l’organisation des États généraux de l’alimentation, avec pour
objectif de réformer la répartition de la valeur dans les filières
agroalimentaires, la négociation de mesures européennes
pour redresser le marché laitier européen et la préparation
du plan d’investissement de 5 Mrd€. Il sera également rattrapé
par l’actualité de l’agriculture : les gels importants qu’ont
connus les vignobles et vergers français ces dernières semaines.
Et la négociation du règlement Omnibus à Bruxelles.
S’il est maintenu après les élections législatives de juin, le ou la ministre
de l’Agriculture du premier gouvernement que va constituer le nouveau
président de la République Emmanuel Macron, aura vraisemblablement
un agenda chargé. Sa nomination devrait avoir lieu le 16 mai.
À en croire son équipe, les choses sérieuses devraient commencer dès cet
été. Mais avant cela, il devra gérer l’actualité du secteur. Le gel tout d’abord,
qui a touché le vignoble de la façade ouest fin avril, quelques jours après la
moitié est de l’hexagone. Le ministre de l’Agriculture devra gérer le soutien
immédiat aux sinistrés, et s’atteler rapidement à l’amélioration des dispositifs
de gestion des risques climatiques. Cela tombe bien, la gestion des risques
est l’un des sujets phares débattus à Bruxelles dans le cadre du règlement
omnibus. Autre sujet chaud à Bruxelles en ce moment : l’assouplissement
du droit de la concurrence, qui est justement l’une des mesures mises sur la
table par le candidat Emmanuel Macron pour permettre aux agriculteurs de
retrouver du prix. En dehors de cet agenda « subi », trois chantiers majeurs
devraient être conduits conjointement durant la période estivale, annonce
Olivier Allain, le conseiller agricole d’Emmanuel Macron lors de la campagne,
et candidat à la députation dans son département des Côtes d’Armor.
« Ouvrir tous les leviers législatifs »
Le premier chantier consistera à organiser des « États généraux de l’alimen-tation », initialement appelés Grenelle de l’alimentation. Cet événement réunira les
associations de consommateurs, les agriculteurs, les distributeurs et l’ensemble des
filières. Il s’agira d’évoquer « une meilleure rémunération des producteurs et donner
un cadre de modernisation de l’agriculture », avait expliqué le candidat Macron en
avril dernier dans un entretien accordé au JDD. « Le premier objectif est de retrouver
le prix payé aux producteurs, avec une priorité donnée au lait et à la viande bovine,
prévoit Olivier Allain. Il y a de vrais gains de valeur ajoutée à ramener vers l’amont de
la filière. » L’équipe d’Emmanuel Macron souhaite développer la contractualisation,
autour notamment des coûts de production des agriculteurs. En cas d’échec des
négociations, l’ensemble du cadre législatif est susceptible d’être revu : « loi de modernisation
de l’économie, droit de la concurrence, la loi Sapin 2 ».
Deuxième chantier de l’été : « L’Europe et les stocks de lait qui pèsent actuellement sur
les prix du lait », annonce Olivier Allain. Selon lui, le futur ministre de l’Agriculture devra
aller rapidement à Bruxelles pour convaincre les autres États membres d’alléger le
marché. Bruxelles a constitué entre 2015 et 2016 environ 300 000 tonnes de stocks
de poudre de lait qui menacent l’équilibre les cours. Pour soutenir ces derniers, le
conseiller d’Emmanuel Macron évoque par exemple l’utilisation de la poudre de lait
comme aide alimentaire, comme le suggérait encore récemment la FNPL et d’autres
syndicats agricoles, ou bien la reconduction de programme d’aides aux réductions
volontaires de production, qui ont concerné presque 861 000 tonnes de lait en Europe
entre octobre 2016 et janvier 2017.
Booster les aides à l’investissement
Troisième et dernier chantier de l’été, selon Olivier Allain, préparer la mise en place
des engagements budgétaires du candidat envers l’agriculture, au travers notamment
du « grand plan de transformation de l’agriculture de 5 milliards d’euros sur
cinq ans ». Celui-ci doit se traduire par exemple par la « multiplication par quatre des
crédits nationaux du plan de compétitivité et d´adaptation des exploitations agricoles
(PCAEA) ». « Beaucoup de crédits issus des fonds Feader ont été consommés par les
régions, alors que la programmation dure jusqu’en 2021 », explique Olivier Allain. Les
aides aux investissements de modernisation sont composés de financements européens
(fonds Feader géré par les régions) et nationaux venant de l’État (PCAEA), des
Régions, des Départements, des agences de l’Eau, et parfois de métropoles.
Le prochain ministre devrait annoncer des « aides complémentaires », appelées «
top-up » dans le jargon, qui permettront aux régions d’attribuer des aides aux agriculteurs,
dont le financement déroge à l’obligation de cofinancement européen. L’utilisation
de ces budgets devrait différer en fonction des régions.
Le PCAEA « permet de préparer l’avenir »
Par exemple, la région Auvergne Rhône Alpes est « plutôt sur un rythme accéléré »
d’utilisation des fonds européens Feader alloués à la modernisation, confie-t-on dans
les services agriculture du conseil régional. L’abondement du PCAEA pourrait d’abord
lui permettre de maintenir plus longtemps les dispositifs à leur niveau actuel. D’autres
régions plus prudentes pourraient relever les plafonds de ces aides. Ils sont significativement
différents en fonction des régions (plutôt bas en Bretagne, par exemple),
même si des harmonisations ont été faites à l’occasion des fusions, par exemple
en Nouvelle Aquitaine. En Nouvelle Aquitaine, le directeur agriculture de la région,
Thierry Mazet, se réjouit de l’abondement du PCAEA. « C’est une bonne chose qui
permet de préparer l’avenir ». Ces fonds pourraient être utilisés pour élargir le périmètre
des matériels éligibles aux aides. « Il faut miser sur l’innovation », estime-t-il.
Surtranspositions, droit à l’erreur au printemps
Voilà pour l’agenda prévisionnel du ministre de l’Agriculture. Mais d’autres annonces
qu’avait faites Emmanuel Macron concernent aussi le secteur agricole. Le candidat
Macron avait notamment annoncé, dans un entretien à nos confrères du JDD, qu’il
prévoyait « fin mai ou début juin », de mettre en place « le droit à l’erreur » face aux
contrôles de l’administration. Cette mesure devait passer par le fameux projet de loi
d’habilitation permettant au gouvernement « d’agir par ordonnances ». Ces textes,
prévus pour le printemps, doivent aussi « supprimer les normes issues de la surtransposition
» et imposer « la suppression d’une norme récente pour toute nouvelle norme
votée ». Pour Olivier Allain, ces mesures n’ont pas « le même degré d’urgence ». Le
droit à l’erreur a d’ailleurs « besoin d’être affiné », admet-il.
Le souhait de son équipe est que le droit à l’erreur ne concerne que des erreurs « qui
n’ont pas de conséquence néfaste sur l’environnement » et « qui minent le moral des
agriculteurs ». Pour Olivier Allain, « il y a un état d’esprit à donner à l’administration
pour que l’on ne soit plus dans le fait du prince ». Difficile de mesurer précisément la
marge de manoeuvre du nouveau ministre sur ce sujet, surtout en ce qui concerne les
aides PAC, très surveillées par Bruxelles.
Concernant les surtranspositions du droit européen, le conseiller d’Emmanuel Macron
n’a pas été en mesure de fournir d’exemple lors de notre entretien. Serpent de mer du
secteur agricole, ces « surtranspositions » avaient été à l’origine de la création d’une
structure de concertation, le Comité de révision des normes agricoles (Corena), souvent
mise en avant par le syndicalisme majoritaire.
Tour d’Europe cet été, baisses de charges à l’automne
Toujours durant ce même été, il avait annoncé dans son entretien au JDD « un tour
des capitales européennes », afin de proposer « une feuille de route à cinq ans pour
doter la zone euro d’un vrai budget et pour une vraie Europe à 27 de l’environnement,
de l’industrie et de la gestion des migrations ». Il est également prévu que son gouvernement
organise parallèlement « une conférence des territoires » pour établir « un
pacte de confiance avec les collectivités locales ».
À l’automne, il prévoyait « un texte de finances publiques quinquennal » et « un projet
de loi de finances pour 2018 », qui comprendront notamment les « principales
mesures en faveur de l’emploi et de
l’investissement, comme la baisse
des charges, la baisse de l’impôt sur
les sociétés ». En revanche, il souhaitait
prendre plus de temps pour
réformer l’assurance chômage dont
il souhaite « universaliser » les droits :
« Tout cela sera finalisé au plus tard
début 2018 ».
AGRAPRESSE - 12/05/2017
Re: Un ministre de l'agriculture Breton ?
je constate que les banques ne sont pas oubliées via les aides aux investissements ...
on est jamais mieux servi que par sois même .
mébon ... je suis sans doute de mauvaise foi ou plus exactement : désillusionné .
longue vie à la future agriculture . ( c'était ma note positive )
on est jamais mieux servi que par sois même .
mébon ... je suis sans doute de mauvaise foi ou plus exactement : désillusionné .
longue vie à la future agriculture . ( c'était ma note positive )
kermitt- Agrinaute hors compétition
- Age : 59
Re: Un ministre de l'agriculture Breton ?
Oh, ça ne risque pas de m' ennuyer .amDBs9 a écrit:Si çà ne t'ennuie pas, je préfère Monsieur Allain ...
Parce que Madame Foldingue ce serait, quand même, le "reste de la colère de Dieu" .
Elle serait hautement inspirée de se tenir à carreau désormais en tant que présidente de la Fédé mais une pareille , il faut du " câble à belle- mère" pour la retenir. On va voir avec le temps si elle en est capable.
Le Gaumais- Agrinaute hors compétition
- Age : 53
Re: Un ministre de l'agriculture Breton ?
c'est marrant mais pour quelqu'un qui est accusé de ne pas avoir de programme agricole, je m'y retrouve plutôt bien. Mais j'ai l'honnêteté de reconnaître de ne pas être, peut-être, objectif.
baba- Agrinaute hors compétition
- Age : 46
Re: Un ministre de l'agriculture Breton ?
C ' est avec de telles personnes que l' agriculture est le mieux gérée. C' est encore plus vrai au niveau local.baba a écrit:c'est marrant mais pour quelqu'un qui est accusé de ne pas avoir de programme agricole, je m'y retrouve plutôt bien. Mais j'ai l'honnêteté de reconnaître de ne pas être, peut-être, objectif.
Le Gaumais- Agrinaute hors compétition
- Age : 53
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