vente directe
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MA 31
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vente directe
cherche producteur qui a un magasin pour vendre ses produits.??
MA 31- Agrinaute hors compétition
- Age : 70
Re: vente directe
Dans quel but ?
Nous on devrait ouvrir un petit point de vente courant de printemps pour vente de production maraîchère.
Nous on devrait ouvrir un petit point de vente courant de printemps pour vente de production maraîchère.
le ghis- Agrinaute hors compétition
- Age : 45
Re: vente directe
un producteur qui fait dégusté un verre de vin il faut une licence.
un producteur d huitre ou de fromage qui vend une assiette d huitre ou du fromage avec un verre de vin blanc ou de rouge . il faut une licence cout de la formation 300e
un producteur d huitre ou de fromage qui vend une assiette d huitre ou du fromage avec un verre de vin blanc ou de rouge . il faut une licence cout de la formation 300e
MA 31- Agrinaute hors compétition
- Age : 70
Re: vente directe
le distributeur de légumes marche très bien . un maraicher à coté monte un 2 distributeurs de légumes . les bobos aiment se style de vente
MA 31- Agrinaute hors compétition
- Age : 70
Re: vente directe
On fait de la vente directe à la maison , le long d' une route nationale, depuis près de 40 ans.
Quand je vois comment les choses évoluent depuis quelques années , je vous souhaite une bien bonne chance à tous.
Les distributeurs de légumes , comme nous le montre Varadero, risquent de finir comme les distributeurs de lait cru.
Quand je vois comment les choses évoluent depuis quelques années , je vous souhaite une bien bonne chance à tous.
Les distributeurs de légumes , comme nous le montre Varadero, risquent de finir comme les distributeurs de lait cru.
Le Gaumais- Agrinaute hors compétition
- Age : 53
Re: vente directe
Les bobos, c' est le style du moment d' une toute petite partie de la population. Le style d' aujourd'hui, c' est pas le style de demain,.... surtout avec des pareils.
Je plains le fermier qui attend cette bande là pour sortir de l' ornière.
Je plains le fermier qui attend cette bande là pour sortir de l' ornière.
Le Gaumais- Agrinaute hors compétition
- Age : 53
Re: vente directe
Les "bobos" comme tu dis se fournissent dans les AMAP et les producteurs qui en font partie n'ont pas l'air de se plaindre car il y a chez ces clients un coté "militant" (et un pouvoir d'achat dans la moyenne supérieure!) qui leur fait acheter des produits "locaux" et frais à des prix que les paysans concernés ne pourraient pas espérer dans d'autres circuits.MA 31 a écrit:le distributeur de légumes marche très bien . un maraicher à coté monte un 2 distributeurs de légumes . les bobos aiment se style de vente
alaindesalpes- Agrinaute hors compétition
- Age : 72
Re: vente directe
Ce qui me gène le plus dans cette histoire, c'est l'orientation de nos politiques qui ne croient bientôt plus qu'aux circuits courts.
Alors c'est vrai que la vente au détail permet de sortir une bien meilleur valorisation de son produit. Tout en sachant que cette prestation demande une grande participation de par le temps consacré et limite ainsi le nombre de producteurs concernés. Ça faisait un équilibre.
Avec ce nouveau stratège, il va y avoir une totale désorganisation du marché local, et ainsi de créer une sorte de concurrence engendrant la baisse de valorisation. Dommage!
Alors c'est vrai que la vente au détail permet de sortir une bien meilleur valorisation de son produit. Tout en sachant que cette prestation demande une grande participation de par le temps consacré et limite ainsi le nombre de producteurs concernés. Ça faisait un équilibre.
Avec ce nouveau stratège, il va y avoir une totale désorganisation du marché local, et ainsi de créer une sorte de concurrence engendrant la baisse de valorisation. Dommage!
varadero- Agrinaute d'or
- Age : 59
Re: vente directe
c'est un peu un effet mode la vente directe
rappelez vous du temps de nos parents tout le monde venaient a la ferme chercher du lait des oeufs une poule un canard .......
apres certains se sont lancé a grande échelle en transformant du lait
pi dans les années 80 tout s'est arreté (par chez moi ailleurs ???),les fermes grandissaient et la vente prend du temps BEAUCOUP de temps
alors que notre mo n'est deja pas remunéré bien chere ,je suis pas sur que cela soit mieux en vente direct
en + de ça les contraintes au niveau sanitaire sont toute autre .....
rappelez vous du temps de nos parents tout le monde venaient a la ferme chercher du lait des oeufs une poule un canard .......
apres certains se sont lancé a grande échelle en transformant du lait
pi dans les années 80 tout s'est arreté (par chez moi ailleurs ???),les fermes grandissaient et la vente prend du temps BEAUCOUP de temps
alors que notre mo n'est deja pas remunéré bien chere ,je suis pas sur que cela soit mieux en vente direct
en + de ça les contraintes au niveau sanitaire sont toute autre .....
grabouille- Agrinaute hors compétition
- Age : 105
Re: vente directe
Bien d' accord avec vous trois.
Il y avait, il y a et il aura toujours de la vente directe mais on est à un tournant.
Je ne sais trop ce que cela va donner à l' avenir.
Ici, on diminue depuis 2008, actuellement, c' est la chute libre. Pile poil en fonction de ce que les gens ont dans le porte- monnaie.
Je n' ai jamais engouffré trop d' argent là dedans et cela m' a permis de monter ma ferme . Aucun regret d' avoir fait ainsi. Mais l' avenir, c' est : ???
Il y avait, il y a et il aura toujours de la vente directe mais on est à un tournant.
Je ne sais trop ce que cela va donner à l' avenir.
Ici, on diminue depuis 2008, actuellement, c' est la chute libre. Pile poil en fonction de ce que les gens ont dans le porte- monnaie.
Je n' ai jamais engouffré trop d' argent là dedans et cela m' a permis de monter ma ferme . Aucun regret d' avoir fait ainsi. Mais l' avenir, c' est : ???
Le Gaumais- Agrinaute hors compétition
- Age : 53
Re: vente directe
L' histoire de Pauline
Ceci a fait du bruit chez nous.
Réseaux sociaux à fond et financement participatif Miimosa mais le constat est là.
Cette jeune femme a aussi le mérite de la franchise.
Ceci a fait du bruit chez nous.
Réseaux sociaux à fond et financement participatif Miimosa mais le constat est là.
Cette jeune femme a aussi le mérite de la franchise.
Le Gaumais- Agrinaute hors compétition
- Age : 53
Agrimarne- Agrinaute hors compétition
- Age : 68
Re: vente directe
CS55- Agrinaute d'or
- Age : 54
Re: vente directe
comme les distributeurs de lait ,tout beau tout bien
ca n'a pas duré......
ca n'a pas duré......
grabouille- Agrinaute hors compétition
- Age : 105
Re: vente directe
Je suis je pense un client potentiel ....ou type bobo ....mais pas une vache pas un élevage avec vente à la ferme dans mon secteur, (50 km minimum voir 100... ) j'aime les crémeries comme Amazon qui me facilitent la vie dans mon désert ..............donc pourquoi ne pas acheter des produits autres que ceux de l’Intermarché du coin genre laitière en fin de vie !!!!, pour une race , une région ou un type d'élevage .
Agrimarne- Agrinaute hors compétition
- Age : 68
Re: vente directe
Par ici il y en a plusieurs qui se sont lancés en maraichage sur des petites surfaces. Déjà le montant d aide à l installation est le même qu ils aient 1 million d investissement ou 0, 24 000 euro par uth si je ne trompe pas.
Quand ils ne demandent pas en plus des financements participatifs... puis demandent le rsa et déclarent que dalle comme c est payé en cash... je ne parle pas pour tout le monde mais il y en a plusieurs comme ça.
Quand ils ne demandent pas en plus des financements participatifs... puis demandent le rsa et déclarent que dalle comme c est payé en cash... je ne parle pas pour tout le monde mais il y en a plusieurs comme ça.
le rat- Agrinaute d'or
- Age : 47
Re: vente directe
Agrimarne a écrit:Je suis je pense un client potentiel ....ou type bobo ....mais pas une vache pas un élevage avec vente à la ferme dans mon secteur, (50 km minimum voir 100... ) j'aime les crémeries comme Amazon qui me facilitent la vie dans mon désert ..............donc pourquoi ne pas acheter des produits autres que ceux de l’Intermarché du coin genre laitière en fin de vie !!!!, pour une race , une région ou un type d'élevage .
Les vaches race a viande ont aussi une fin de vie
CS55- Agrinaute d'or
- Age : 54
Re: vente directe
Mon banquier trouvait que je gagnerais bien plus en n'ayant que 15 bêtes en vente direct plutôt que 400. Il a fallu que je lui explique que pour vendre 15 animaux par an, il m'en fallait au moins 30 à 40 à entretenir suivant le type de viande que je choisissais. Ensuite, il a fallu lui faire comprendre que vendre 5 à 8 bêtes dans l'année comme je le fais et en vendre le double, ce n'était pas du tout le même travail et le même risque. Il a fallu qu'il prenne conscience que mes charges de structures n'allaient pas se diluer de la même manière.
Et comme dis dans les commentaires du dessus, je suis également convaincu que le développement n'était pas si assuré que cela. Mes clients sont très réguliers. Mais même si je n'ai jamais investi énormément dans la communication, le peu d'expériences que j'ai faites ne m'ont pas ramené davantage de clients.
Enfin, la pression prix reste prépondérante. J'ai du mal à appliquer de vrais prix rémunérateurs car on te compare toujours à la grande distribution dont les prix sont artificiellement bas...
C'est un créneau à ne pas négliger mais il est dangereux de tout miser là dessus (du moins dans le contexte démographique que je connais)
Et comme dis dans les commentaires du dessus, je suis également convaincu que le développement n'était pas si assuré que cela. Mes clients sont très réguliers. Mais même si je n'ai jamais investi énormément dans la communication, le peu d'expériences que j'ai faites ne m'ont pas ramené davantage de clients.
Enfin, la pression prix reste prépondérante. J'ai du mal à appliquer de vrais prix rémunérateurs car on te compare toujours à la grande distribution dont les prix sont artificiellement bas...
C'est un créneau à ne pas négliger mais il est dangereux de tout miser là dessus (du moins dans le contexte démographique que je connais)
sax51- Agrinaute d'argent
- Age : 43
Re: vente directe
Agrimarne a écrit:Je suis je pense un client potentiel ....ou type bobo ....mais pas une vache pas un élevage avec vente à la ferme dans mon secteur, (50 km minimum voir 100... ) j'aime les crémeries comme Amazon qui me facilitent la vie dans mon désert ..............donc pourquoi ne pas acheter des produits autres que ceux de l’Intermarché du coin genre laitière en fin de vie !!!!, pour une race , une région ou un type d'élevage .
Ils font aussi !!! mais je sais pas si ils attrapent beaucoup de clients, faut la savourer ton entrecôte
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Fly49- Agrinaute hors compétition
- Age : 59
Re: vente directe
Agrimarne a écrit:Je suis je pense un client potentiel ....ou type bobo ....mais pas une vache pas un élevage avec vente à la ferme dans mon secteur, (50 km minimum voir 100... ) j'aime les crémeries comme Amazon qui me facilitent la vie dans mon désert ..............donc pourquoi ne pas acheter des produits autres que ceux de l’Intermarché du coin genre laitière en fin de vie !!!!, pour une race , une région ou un type d'élevage .
Pas beaucoup les élevages dans notre secteur, un peu plus sur Vitry le F, le plus proche de chez moi à Saint Amand sur F.
pyb-51- Agrinaute d'argent
- Age : 58
Re: vente directe
Fly49 a écrit:Agrimarne a écrit:Je suis je pense un client potentiel ....ou type bobo ....mais pas une vache pas un élevage avec vente à la ferme dans mon secteur, (50 km minimum voir 100... ) j'aime les crémeries comme Amazon qui me facilitent la vie dans mon désert ..............donc pourquoi ne pas acheter des produits autres que ceux de l’Intermarché du coin genre laitière en fin de vie !!!!, pour une race , une région ou un type d'élevage .
Ils font aussi !!! mais je sais pas si ils attrapent beaucoup de clients, faut la savourer ton entrecôte
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Amazon ne remplacera jamais un vrai boucher !
CS55- Agrinaute d'or
- Age : 54
Re: vente directe
La panacée le drive? Rémunératrice l'amap? Il suffit de tout, mais vraiment tout compter, pour trancher:
D'abord le temps passé, multiplié par le cout horaire du salarié (si c'est le patron qui fait, lui aussi, il faut qu'il mange!) qui fait la synthèse des commandes, la récolte, la préparation des paniers, le transport au lieu de distribution, le poireau toutes les trois (+/-) séances de distribution pour représenter son entreprise (sinon ce n'est pas de la vente directe= autre règlementation) auprès des clients.
L'adhésion au groupement, le pourcentage du chiffre d'affaire et le remboursement reparti des charges de commercialisation, locaux, logiciel de gestion des paniers et site internet (base et maintenance)...
La diversité de produits à avoir pour capter le client chaque semaine et le temps supplémentaire pour s'adapter à la fabrication spécifique de chaque produit. Pour chacun, la marge de sécurité à fabriquer en plus pour être sur de disposer du minimum indispensable...
Les pertes de produits.... les produits qui se dégradent par ravageurs, maladies, qui dépassent le stade de commercialisation, les produits récoltés en avance (on ne peut pas faire sans) qui ne trouvent pas preneur,....
le véhicule de livraison, aux normes règlementaires (ça va finir par faire mal un jour de négliger ce poste), son carburant, son assurance, ses contrôles techniques spécifiques), ses réparations...
En face, il n'y a que:
Le volume de produits vendus multiplié par le prix respectif de chaque produit. Si on peut escompter un prix de vente supérieur à la vente en groupement ou grande surface, ce prix ne peut pas se multiplier à l'infini.
Enfin, il faut aussi tenir compte dans le calcul, que tout ce temps passé à gérer une vente directe, serait reporté en production en cas de vente en groupement et que cette production pourrait être moins diversifiée, plus mécanisée...
Au final la balance ne penche pas souvent du coté qu'on croit, ou du moins qu'on veut nous faire croire.
D'abord le temps passé, multiplié par le cout horaire du salarié (si c'est le patron qui fait, lui aussi, il faut qu'il mange!) qui fait la synthèse des commandes, la récolte, la préparation des paniers, le transport au lieu de distribution, le poireau toutes les trois (+/-) séances de distribution pour représenter son entreprise (sinon ce n'est pas de la vente directe= autre règlementation) auprès des clients.
L'adhésion au groupement, le pourcentage du chiffre d'affaire et le remboursement reparti des charges de commercialisation, locaux, logiciel de gestion des paniers et site internet (base et maintenance)...
La diversité de produits à avoir pour capter le client chaque semaine et le temps supplémentaire pour s'adapter à la fabrication spécifique de chaque produit. Pour chacun, la marge de sécurité à fabriquer en plus pour être sur de disposer du minimum indispensable...
Les pertes de produits.... les produits qui se dégradent par ravageurs, maladies, qui dépassent le stade de commercialisation, les produits récoltés en avance (on ne peut pas faire sans) qui ne trouvent pas preneur,....
le véhicule de livraison, aux normes règlementaires (ça va finir par faire mal un jour de négliger ce poste), son carburant, son assurance, ses contrôles techniques spécifiques), ses réparations...
En face, il n'y a que:
Le volume de produits vendus multiplié par le prix respectif de chaque produit. Si on peut escompter un prix de vente supérieur à la vente en groupement ou grande surface, ce prix ne peut pas se multiplier à l'infini.
Enfin, il faut aussi tenir compte dans le calcul, que tout ce temps passé à gérer une vente directe, serait reporté en production en cas de vente en groupement et que cette production pourrait être moins diversifiée, plus mécanisée...
Au final la balance ne penche pas souvent du coté qu'on croit, ou du moins qu'on veut nous faire croire.
bucheron- Agrinaute d'or
- Age : 50
Re: vente directe
ici ce qui marche bien ce sont les magasins de producteurs et ce depuis plus de 20 ans, le lieu d'implantation est stratégique, souvent dans une zone commerciale où les clients potentiels peuvent faire l'ensemble de leurs courses et le passage permettant d'attraper d'autres clients.
Mais la vente directe n'est pas sans contraintes, mes parents l'ont pratiquée pendant plus de 25 ans, et je veux profiter un minimum de ma famille.
Mais la vente directe n'est pas sans contraintes, mes parents l'ont pratiquée pendant plus de 25 ans, et je veux profiter un minimum de ma famille.
baba- Agrinaute hors compétition
- Age : 46
Re: vente directe
à moins de 5 Km a vol d'oiseaux, marché local dans une ferme 2 fois par semaine, marché communal au village 1 fois par semaine, producteur de viande bovine, ovin, canard, cochon, poule, ... œuf, pomme, poire, cerise, 2 maraichers, ....
ben Mme va au supermarché, malgré que ce soit de bon client pour mon activité d'ETA !!!
ben Mme va au supermarché, malgré que ce soit de bon client pour mon activité d'ETA !!!
Pierre31- Agrinaute hors compétition
- Age : 53
Re: vente directe
tu ne leur achètes rien???Pierre31 a écrit:à moins de 5 Km a vol d'oiseaux, marché local dans une ferme 2 fois par semaine, marché communal au village 1 fois par semaine, producteur de viande bovine, ovin, canard, cochon, poule, ... œuf, pomme, poire, cerise, 2 maraichers, ....
ben Mme va au supermarché, malgré que ce soit de bon client pour mon activité d'ETA !!!
master1- Agrinaute d'or
- Age : 56
Re: vente directe
qui fait de la saucisse sèche en bœuf comment vous faites pour la sécher.
MA 31- Agrinaute hors compétition
- Age : 70
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